
Résumé:
Réfugié dans son sous-sol, le personnage que met
en scène Dostoïevski ne cesse de conspuer
l’humaine condition pour prôner son droit à la
liberté. Et il n’a de répit qu’il
n’ait, dans son discours, humilié, diminué,
vilipendé les amis de passage ou la maîtresse
d’un soir. Un monologue féroce et imprécatoire,
magnifiquement rendu par la traduction d’André
Markowicz.